Le café se périme-t-il ? Peut-on en consommer après la date de consommation ?

Le café est une boisson extrêmement connue pour ses bienfaits ainsi que pour ses arômes et de nombreuses personnes en consomme chaque jour. Mais une question revient souvent : se périme-t-il vraiment ? Peut-on le boire après la date indiquée sur l’emballage sans risquer une perte de qualité ?

Chez Shoukâ, nous considérons que la fraîcheur du café est primordiale pour une expérience optimale. Nous allons donc répondre à cette question en mettant en avant l’importance de la torréfaction récente et d’une conservation adaptée.

 

Café et dates de consommation : comment ça marche ?

Sur les paquets de café, on retrouve une Date de Durabilité Minimale (DDM), qui indique jusqu’à quand le café conserve ses meilleures propriétés aromatiques. Contrairement à une Date Limite de Consommation (DLC) que l’on retrouve sur des produits périssables, la DDM n’indique pas un risque sanitaire après expiration.

Cela signifie que le café ne “périme” pas réellement, mais ses arômes s’altèrent progressivement. Et ce, bien avant la DDM indiquée sur l’emballage.

 

La “vraie” durée de fraîcheur du café

Un café commence à perdre ses arômes dès les premiers jours après la torréfaction. C’est pourquoi, chez Shoukâ, nous appliquons une politique stricte pour garantir une fraîcheur optimale :

  • Présence en boutique limitée à 2 mois après la torréfaction : Nous renouvelons régulièrement nos stocks afin de garantir une fraîcheur maximale.
  • Vente en grains avec mouture à la demande : La mouture accélère la perte des arômes. C’est pourquoi nous moulons le café uniquement à la commande, pour préserver au mieux sa richesse gustative.

Ainsi, un café torréfié artisanalement doit être consommé idéalement dans les 30 jours suivant sa torréfaction pour profiter pleinement de ses arômes.

 

Peut-on boire du café après la DDM ?

Oui, il est possible de boire du café après la DDM sans risque pour la santé. Cependant, plus on s’éloigne de la date de torréfaction, plus le café perd en intensité.

Les points à surveiller si vous souhaitez le consommer après plusieurs mois :

  • Odeur atténuée : Un café qui ne sent presque plus rien a déjà perdu une grande partie de ses arômes.
  • Goût plus fade ou oxydé : Si votre café n’a plus la profondeur aromatique attendue, il est sûrement trop vieux.
  • Mauvaise conservation : Si le café a été exposé à l’humidité ou à la chaleur, il peut développer des défauts de goût.

 

Comment bien conserver son café ?

Le café est extrêmement sensible à l’air, qui est son premier ennemi en termes de conservation. Pour le garder dans les meilleures conditions, nous recommandons :

  • Stocker le café en grains plutôt que moulu, car la mouture accélère son oxydation.
  • Utiliser un contenant hermétique et opaque, comme nos boîtes Airscape Shoukâ en acier inoxydable. Ces boîtes éliminent l’air présent à l’intérieur, ralentissant ainsi la dégradation des arômes.
  • Éviter le réfrigérateur ou le congélateur, car l’humidité peut altérer le café et modifier ses saveurs.

Découvrez nos solutions de conservation ici : Airscape Shoukâ.

 

Où trouver du café fraîchement torréfié ?

Chez Shoukâ, nous torréfions nos cafés de spécialité en petites quantités, garantissant une fraîcheur exceptionnelle. Nos cafés sont sélectionnés avec soin et torréfiés artisanalement pour révéler tous leurs arômes.

Découvrez notre gamme de cafés à la demande ici : Catalogue de café de spécialité Shoukâ.

 

Pour conclure : les arômes du café déclinent rapidement

Le café ne se périme pas, mais ses qualités aromatiques déclinent rapidement après torréfaction. Chez Shoukâ, nous privilégions une approche axée sur la fraîcheur :

  • Stock limité en boutique à 2 mois après torréfaction
  • Vente en grains avec mouture à la demande
  • Utilisation de boîtes hermétiques Airscape pour une conservation optimale

Si vous cherchez un café frais, intense et savoureux, privilégiez des grains récemment torréfiés et bien conservés. Venez découvrir notre sélection de cafés de spécialité !

 

Sources